•      j'ai n'ai rien fait de ma vie, je l'ais perdu le plus possible, voilà ce que Christian Bobin nous dit en parlant de l'attente de l'écrivain, lui qui est incontestablement un "toxicomane de l'attente".

         Attendre chez les écrivains c'est sentir par l'observation, l'imagination dans l'attente, l'inspiration de la réalité caché.

         Parfois je me glisse dans un café quelconques pas trop calme, mais pas trop bruyant non plus. Là je me met à table de la façcon le plus discrete possible pour me faire oublier et ainsi me poser en observateur. Je ne sais ce que je veins observer alors j'attend. Cela peu durée quelques minutes ou beaucoup plus. Peu à peu l'attente m'éfface de ce monde, seul mon corps es présent. Sur une feille de papier blanc que j'avais sorti au préalable, je pose mon stylo et je me remet à attendre. C'est ce simple geste qui me fait revenir parmi les bourdonnement de la salle. L'instant magique arrive, les idées se bouscule dans ma tete si vite quelles devance l'écriture, c'est une véritable frénésie un vrai bieb etre. C'est ce quel'on à l'habitude d'appeler l'inspiration. J'appels cela, un moment d'écriture.


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  •      Réfléchir sur l'attente, c'est réfléchir sur l'existence elle-même. L'attente est le tisu don cette existence est faite, de l'attente on ne peu jamais faire astraction. Et le rêve du poéte "ô temps, suspend ton vol!" est balayé par cette simple remarque d'Alain " pendant combien de temps va t-il suspendre son vol? Ainsi toute définition de l'attente présupose t-elle l'expérience irrédi=uctible de l'attente.

         Dans notre société ou la médecine à fait reculer la mort au frontére de l'attente. Comme le son les soins paliatifs une attente interminable.Ce qui as fait de la mort une attente engendrent une peur souvent brutale. Si nous considérons la question la seule douleur sincére serait la douleur physique, vécu dans l'instant. Par conséquence la crainte pour le lendemain est craint de l'imagination.

         L'exemple type selon Epicure est la peur de la plus absurde, précisément parce que la mort est au futur. Tant que je suis là, vivant capable de sentir et de penser, la mort n'est pas, et quand elle seras là, présicément, moi je n'y serais plus. Voilà ce qu'es le travail des psychologue en milieu palliatifs, c'est à dire rompre cette idée de déjà mort afin de faire sentir le désir de vivre les derniers instants sans cette peur--- sans cette attente interminable de la mort qui est déjà une mort en elle même. Le suicide du peu qu'il reste à vivre.


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  •      Si dés notre tendre enfance ont nous fesaient lire, non pour apprendre, mais pour nous émouvoir, ou encore pour nous faire voyager dans l'extréme simplicité de la beauté du monde. Alors la lecture serait pour beaucoup d'entre nous autre chose qu'une obligation à apprendre des régles établient depuis parfois trop longtemps.

     

    écris en 2002


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  •      Il y a des rencontrers qui font naître en nous des interrogations sur l'esprit humain. Sur sa profondeur réel, là dans ces instants ou la voix qui vous parle raisonne comme pour décrit l' abîme de la faiblesse. Ctte voix je l'ai rencontré au hasard d'une soirée. C'est celle d'un inconnu qui en quelques secondes, sans même que vous le connaissiez vous livre ses abîmes, ses ténèbres, comme on offre des fleurs pour la beauté de l'instant.

         Chez eux l'instant, lemoment même prime sur tout---il aime qu'on les aime, qu'on parle d'eux, l'instant suivant c'est l'envie de ce perdre dans leur propre nuit qui les ratrappe. C'est comme une derniére parole jeté à la face du monde. Ils ont un nom qui raisonne comme le gla, mais pour d'autres ils sont comme un phare de détresse. Tout dépend de l'oreille qui les écoutes et des yeux qui les voient. Cela ne dure que quelque instant, mais pour eux le temps est interminable. Vous savez ce moment ou il oublie ce qu'ils sont pour les autres. Ce sont des légionnaires.

     

    écris en 1999


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  •      Attendre ce qui ne viendra pas et le plus douloureux de tout les sentiments. C'est l'état dans lequel on plonge quand on veut repouser les bariéres de la raison. Car se faire une raison sur des désillusion et la pire arme que l'on puis construire contre soit même. C'est une mort certain, une mort dans la profondeur de l'âme, une pierre tombé dans votre puit de vertu--- tombé si profonde que seul une autre âme plus meutri que là votre peu l'en retirer, ou alors une âme si forte, quelle pourrais reboucher ce puit.

         Attendre c'est réfléchir sur soi-même en positivant jamais en s'inculquant toutes les fautes, en se méprisant, puis en ce convaincant, que la seul raison de cet état s'est vous. Mais n'es-ce pas la plus belle preuve que l'on puisse ce donner a soit même, sur sa grandeur d'âme, car se juger soit même avec sévérité, c'est s'élever vers sa vertu. Et cette situation est provoqué par tout exés de sentiments--- le sentiment amoureux étant le plus concret des exemples, c'est là que la grandeur des sentiments profond et sincére face à un mur se retourne contre vous pour faire subir à votre âme le questionnement de vous même, que seul les plus vertueux d'entre vous sortirons indemme.

     

     écris en 1999.


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