• 1     Jonathan Littell                                 Les bianveillantes                             Gallimard

    2     Goscinny et Sempé                          Histoire du petit Nicolas                   IMAV

    3     Bernard Werber                              Le papillon des étoiles                      Albin Michel

    4     Jean d'Ormesson                             La création du monde                      Robert Lafond

    5     Boris Cyrulnik                                 De chair et d'âme                             Oldie Jacob

    6     Jacques Attali                                  Une bréve histoire de l'avenir            Fayard

    7     Nancy Huston                                  Ligne de faille                                  Acte sud

    8     E.Emmanuel Schnitt                          Odette toulemonde                          Albin Michel

    9     Pascal Bruckner                                La tyrannie de la pénitence              Albin Michel

    10    V.Giscard d'Estaing                          Le pouvoir de la vie                        Grasset

    11    John Ivring                                        Je te retrouverais                            Seuil

    12    C.Deloire et C.Dubois                       Sexcus politucus                            Albin Michel

     

                                       


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  •      Réfléchir sur l'attente, c'est réfléchir sur l'existence elle-même. L'attente est le tisu don cette existence est faite, de l'attente on ne peu jamais faire astraction. Et le rêve du poéte "ô temps, suspend ton vol!" est balayé par cette simple remarque d'Alain " pendant combien de temps va t-il suspendre son vol? Ainsi toute définition de l'attente présupose t-elle l'expérience irrédi=uctible de l'attente.

         Dans notre société ou la médecine à fait reculer la mort au frontére de l'attente. Comme le son les soins paliatifs une attente interminable.Ce qui as fait de la mort une attente engendrent une peur souvent brutale. Si nous considérons la question la seule douleur sincére serait la douleur physique, vécu dans l'instant. Par conséquence la crainte pour le lendemain est craint de l'imagination.

         L'exemple type selon Epicure est la peur de la plus absurde, précisément parce que la mort est au futur. Tant que je suis là, vivant capable de sentir et de penser, la mort n'est pas, et quand elle seras là, présicément, moi je n'y serais plus. Voilà ce qu'es le travail des psychologue en milieu palliatifs, c'est à dire rompre cette idée de déjà mort afin de faire sentir le désir de vivre les derniers instants sans cette peur--- sans cette attente interminable de la mort qui est déjà une mort en elle même. Le suicide du peu qu'il reste à vivre.


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  • Finalement je n'est pas trouvé le sommeil ni l'inspiration, donc je me suis pris un livre, amélie Nothomb: Les catilinaires. Amélie à écris ce livre à l'age de 28a, avnt elle avait déjà écrit deux romans et une piéce de théatre. L'histoire de ce livre et simple un couple citadins s'installent pour vivre une retraite paisible et tranquille à la campagne.

    Les premier jour c'est le bonheur total.  Jusqu'au jour ou monsieur Bernardin leur rend une visite de courtosie. Emile et Julliette les deux retraités son trés vite attéré et desarmé face au mutisme de M. Bernardin. C'est à peine s'il répond, il reste dans le fauteuil là désormé chaque jour de 16h à 18h. Exigeant de plus en plus d'attention, tout en restant dans un silence terrifiant. Que veut-il ?

         J'ai adoré comment Amilie Nothomb traite le sujet de la présence destructive de nos voisins, de nos amies et simplement de tout le monde, dans nos vie privé.

       A lire et à relire.


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  • Aujourd'hui je me suis levé a 6hoo du matin le someil ne voulais plus de moi. Un café la télé sur LCI, rien de différent de mes autre matin. Les nouvel aussi salle que la veille: une autobus au Maroc fais une colision, des morts , des bléssés , comme tout les jour. J'ai toujour penser pourquoi ne pas démarrer le jounal avec une bonne nouvelle, la naissance d'un enfant, la guérison d'un personne d'une maladie dangereuse... Et bien non encore ce matin des morts, des pleur, de la souffrance, la guerre...

    Apres mon mari et mes emfants se sont levé j'ai eteint la télé, inutile de voire leurs visage d'ange devant cette laideur. J'ai embrassé mon mari et mes enfant et je suis monté a mon bureau. Un autre café le temps que mon ordinateur se mette en marche, puis un petit tour sur mon blog pas trop de visite pas de commentaire, décidément la littérature n'est pas a la une ici non plus. J'ai donc éteint inter net et je me suis mis a mon manuscrit. J'ai mangé vres 13h00 avec mon mari puis a 14h00 j'étais revenu a mon bureau. Un autre café, un peu de lecture pour digerer, le magazine littéraire et retour a mon manuscrit. voila il et 18h00, toujour pas trop de visite sur mon blog, ce soir si la fatigue ne me gagne pas j'écrirais ou je lirais. a bientot


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