•      Attendre ce qui ne viendra pas et le plus douloureux de tout les sentiments. C'est l'état dans lequel on plonge quand on veut repouser les bariéres de la raison. Car se faire une raison sur des désillusion et la pire arme que l'on puis construire contre soit même. C'est une mort certain, une mort dans la profondeur de l'âme, une pierre tombé dans votre puit de vertu--- tombé si profonde que seul une autre âme plus meutri que là votre peu l'en retirer, ou alors une âme si forte, quelle pourrais reboucher ce puit.

         Attendre c'est réfléchir sur soi-même en positivant jamais en s'inculquant toutes les fautes, en se méprisant, puis en ce convaincant, que la seul raison de cet état s'est vous. Mais n'es-ce pas la plus belle preuve que l'on puisse ce donner a soit même, sur sa grandeur d'âme, car se juger soit même avec sévérité, c'est s'élever vers sa vertu. Et cette situation est provoqué par tout exés de sentiments--- le sentiment amoureux étant le plus concret des exemples, c'est là que la grandeur des sentiments profond et sincére face à un mur se retourne contre vous pour faire subir à votre âme le questionnement de vous même, que seul les plus vertueux d'entre vous sortirons indemme.

     

     écris en 1999.


    3 commentaires
  •                                                             Bonjour chere lecteur,

     

         Je me présente. Je suis née le 29/07/1970 a Aniche ( Nord 59 ) je n'est pas toujours étais écrivain. On née pas écrivain ,ni peintre, ni chanteur... On né avec quelques chose en plus et quelques chose en moins. D'ailleur j'ai pas fait de brillante études, vous voyez déjà une chose en moins, mais je les es faites a l'âge de 27a un bac SMS et une licence, le tout part corespondance via le cned. Voilà quelque chose en plus. Enfin apres 15a de restauration c'est ce qu'on appels pas rebondir, mais s'envoler. Par-contre il y a une chose avec la quel je crois que je suis né, c'est l'amour de la lecture et des livres. De la a fini écrivain je vous l'accorde n'est pas une évidence. Non, mais c'est déjà la direction. Aprés le reste c'est toute une alchimie constitué sans doute de manque d'amour (plus maintenant je suis comblé) de mes jeune années, les blesures, les échorchures, les non dits, le désir de partager, d'échanger... Cela parait facile mais il ma fallut plus de 35a pour comprendre cette évidence. Aujourd'hui J'écris, je lis et j'écris puis je lis... Merci a ma femme. Merci Chantal        A suivre 


    1 commentaire
  •      J'ai était attéré quand le mois dernier suite a la convocation par le conseil régionale de l' Arriége,  je me suis vu par l'assitante sociale qui ma reçu pratiquement refuser le droit au RMI, parceque mon projet de réinsertion était l'édition de mon libre. Une chance que celle derniére n'es pas seule a décider. Enfin à ce jour je n'est pas de nouvelle mais je crains fort me voir retirer le RMI sous prétexte d' être considérais comme un " artiste ". A l'heure ou les programme électorale ne son pas encore clair, j'aimerais savoir ou est le droit à la culture?????  A Suivre.....


    votre commentaire
  •      Là le temps semble comme absent. L'espace prend une autre dimension, les gestes sont décomposés dans leur mouvement. Les paroles simples prennent une autre valeur donnant aux mimiques fatigés et appauvris par le temps, un autre regard. Pourtant les maisons de retraite combattent par toute sorte de biais: le temps et la solitude---calendriers, horloges semblent ici avoir pour la plupart des patients un autre sens. Des mots comm: avenir, appartinir, sont sans valeur. Certains mots n'ont plus aucune signification réelle. Le vocabilaire a une autre forme, et les phrases sont formulées au passé, le plus souvent---l'avenir est, comme inexistant à leurs yeux.

         Vous entrez ici, dans un monde paralléle. Dans ces lieux est-ce l'attente et la salitude qui doivent régnier? D'une phrase, d'un geste procurez aux patients une entré dans l'avenir, même s'il s'agit d'une perspective éphémére, donnez leur la force de ne pas oublier qu'ils appartiennent à notre monde. Aprés tout c'est leur passé qui a fondé notre présent. Ils sont votre mémoire vivante notre empreinte dans le temps. Cela ne leur donnent-ils pas un droit sur le futur?

         Nous qui sommes à peine au tiers de notre vie, laissons les pénéter notre présent afin de leur offrir une parole, un dialogue viavant, un échange.

     

           PS: Ce texte à étais écris suite a ma viste dans une maison de retraite.


    1 commentaire
  •      Mes démarchent culturelles sont basés sur le désir et non sur le mode de la surconsommation culturel.

         J'ai toujours été choqué par les propos de certains individus qui entrant dans une bibliothéque disent: Je ne pourrais jamais lire tout ces livres. Je me sens au antipode de ces gens, car pour moi lire même une seule phrase d'un auteur avec désir, c'est à dire en entrant dans la pensé de l'auteur. Jusqu'au point ou il me semble l'entendre, comme si c'était lui qui me dicté cette phrase.

         Volà ce que j'appels une démarche culturelle personnel et non une surconsommation de la culture-- ce que l'on pourais appeller une culture imposé par des régles siciale.

         Donc une démarche culturelle sans véritable choix et de ce faite dépourvu de désir. C'est donc une culture en cercle fermé. N'oublions pas que culture et désir sont indissociables.

     

       PS.  Vous en pensez quoi?


    3 commentaires