•      En un instant le silence fut brisé. Le rideaux sombre s' abattis brusquement faisant ressentir toute sa puissance, jusque dans nos maison. Les vitres brouillé faissaient ruisseler quelques goutelettes qui donné à cette image une sensation triste. Mais là invincible droit et digne,  les arbres dominé cette force invisible.

         La terre comme dans un refus de succomber à la provocation du ciel resta calme et sans amertume. Le vent arrêta ce combat en déchirant le ciel laissant le soleil seul juge des caprises du vent. Des flaques d'eau apparurent pour donner raison à la terre. Là une feuille se détacha d'un arbre, voltigeat longuement porté par le vent. Aprés un moment elle tomba dans une flaque, qui avait pris naissance dans la terre vaincu. C'était l'automne. Les arbres c'étaient laissé bercé par le vent et endormis par l'automne.


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  •      Ajourd'hui les manifestation culturelle sont très fréquenté. Elles donnent l'impréssions d'appeler au rassemblement. Comme si ont y allaient pour éviter la marginalité. J'ai vu lors de grandes expositions défiler des yeux aveugles devant des tableaux. J'en ai vu d'autre attérré de ne pas pouvoir sentir la sensibilité de l'oeuvre, et même d'autres accorder que quelque secondes à la toile, pour finir de s'étonner de ne rien y voir! Ces dernier me donnais l'impréssion d'être là juste pour avoir à dire: J'y étais.

         Voilà ce que j'appels consommer son désir personnel. C'est comme si ces personnes devaient être à ce rendez-vous pour entrer dans la norme sociale. Pour en être convaincu il suffit d'observer à ces grands rendez-vous socioculturelle le peu de personne qui seront amément d'exprimer leur sentiments sur le livre d'or. Puisque sens désir il n'y a pas de sentiments vrais, qui devraient être livré facilement-- tout au moins sens à regarder ce que les autre y on inscrit.

         Pourtant j'en ai vu lors de petit vernisage des " âmes " pétrifiés, ébloui jusqu'a en avoir le vertige, marquant leurs émotions avec autant de sensibilité, que l'artiste à mise au momment de le création de son oeuvre. Une véritable communion. N'es ce pas la plus belle façon de consommer de la culture?

         En échos à ceci je citerais Lévis Strass qui dit: Il y a autant de civilisation que de culture. Personnellement je serais tenté de dire: Il y a autant de désir culturelle que d'individus.

     

             Ps. Ce texte à était écris suite à l'esposition consacré à Gaugin au Grand palais  a Paris en 2005


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